Plusieurs éléments interviennent dans l’apparition des caries dentaires. Le type de glucides, leur forme et surtout leur degré de consommation influencent ces facteurs. Les enfants apprécient particulièrement les sucreries. Ces derniers sont toutefois en première ligne dans les facteurs liés au processus cariogène. Pour plus d'informations sur la relation du sucre et carie, suivez cet article.
Quelques idées sur le sucre et les caries dentaires
Le sucre et carie sont étroitement liés. Le sucre fait partie des principaux éléments qui détruisent l’email dentaire, bien qu'il y en ait d'autres. Les bactéries de la plaque dentaire, dont les streptocoques mutants et les lactobacilles, qui prolifèrent dans vos bouches, transforment le sucre en acide. Ils déminéralisent ainsi les cellules fortes des dents. Si le sucre est le plus concentré, tous les glucides le sont également. Ils peuvent tous être à l'origine de la formation des caries. À titre d’exemple, le glucose, le fructose, le miel, les sucres découlant du polysaccharide y contribuent tous. Il y a aussi, le saccharose et ses produits de friandise tels que : le caramel et les bonbons.
Les aliments protecteurs des dents
L’interdépendance entre le sucre et carie est véridique. Toutefois, il s’avère primordial de distinguer certains glucides bénéfiques. Étant donné que vous ne risquez pas d’avoir des dents cariées. À noter que le lait renferme du calcium, du phosphore et de la caséine. Ce qui contribue à l’amélioration de la constitution de vos dents. Méconnu de tous, le chocolat est l’un des facteurs protecteurs de l’organe de mastication. Par sa nature, il comprend plus ou moins de sucre, surtout la version 70% et plus. Pareillement, il possède des matières grasses qui forment un effet défenseur sur l’émail. Il contient également du tanin, du fluor et des phosphates.
Les nourritures sources de cariogènes
Le lien entre le sucre et carie émane de divers points : leur contenu, la méthode de préparation et leur nature physique. Le mode de préparation des aliments, et particulièrement la cuisson, entraîne la transformation de la composition et accentue la faculté cariogène. En conséquence, une pomme de terre cuite est beaucoup plus cariante qu’une pomme de terre crue. Cette expérience touche également la farine et le riz. En même temps, les fortes chaleurs de cuisson, l’ébullition à chaud et la technique spécifique, dans la réalisation des biscuits apéritifs ou des pains secs, parviennent à des résultats similaires. A priori, un fruit sec est plus tôt cariogène qu’un caramel, car il est difficile à retirer des dents.